Gravel Way

Un mois avant le départ du Tour de France programmé pour fin juin, il était essentiel d’achever mon entraînement cycliste avec un tracé digne des plus grands. J’ai donc décidé, avec le compagnon de ma prochaine aventure de partir de Bagnères-de-Bigorre afin de réaliser une boucle d’ascensions de mes cols mythiques préférés des Pyrénées.

Départ donc à 9h afin de gravir tout d’abord un col dont j’ai souvent entendu parler mais que ma traversée des Pyrénées l’an dernier ne m’avait pas permis de réaliser : la Hourquette d’Ancizan depuis le village de Campan en passant par le superbe lac de Payolle. Ensuite, descente jusqu’à Arreau puis remontée immédiate du col d’Aspin, par ce côté que j’avais uniquement descendu jusque-là.

De belles rencontres et des photos incroyables avec la météo idéale, la descente d’Aspin avec un retour à Campan pour un déjeuner de qualité. Et c’est ainsi que commence la dernière et la plus difficile ascension : le col du Tourmalet par la Mongie ! Un sens de montée peu fréquenté et pour cause, 17 km de montée avec une moyenne de 9 à 11% au global avec une température de 35°. Il a fallu du courage pour parvenir au sommet en fin d’après-midi et profiter d’une collation chez Octave, que j’affectionne particulièrement. Descente et retour après une journée intense et des souvenirs impérissables.

Au départ d'Oloron-Sainte-Marie en passant par les cols de Lie et Labays et Bouesou avec un éventail de paysages incroyables entourés de sommets enneigés. Nous enchaînons par une montée intense au village de Lescun avant de découvrir l’une des sorties gravel les plus incroyables que j’ai eu la chance de contempler.

Après 50 km, nous voici dans le célèbre Cirque de Lescun, dans des chemins gravel impressionnants, un paysage à couper le souffle entre sommets de 3000 m enneigés, cascade, lac et possibilité de réaliser le tour complet du cirque en vélo. Enfin, un chemin de forêt original et praticable à plus de 1100 m d’altitude a confirmé que nous venions de profiter d’un spectacle difficile à croire.

Fin de journée avec un retour au point de départ pour compléter cette boucle intense et complexe par son dénivelé important mais parsemée des souvenirs inoubliables.

Cette année en ce mois de juin, j'ai eu la chance d'enfin pouvoir réaliser mon rêve : traverser les Pyrénées de Biarritz à Collioure avec mon vélo en 7 jours.

Désormais, je voulais profiter de ce mois d'août 2024 pour découvrir de nouvelles montagnes, de nouveaux lieux et en apprendre d'avantage sur ce beau pays qu'est la France.

Ainsi, j'ai pris mon vélo afin de voyager dans les Alpes pour la première fois, en partant de Biarritz pour rejoindre Briançon.

J'ai ainsi eu la chance de pouvoir découvrir cette superbe région qui m'était jusqu'alors inconnue et également de gravir et traverser des cols mythiques tels que le Lautaret, le Galibier, le Télégraphe, l'Iseran et bien d'autres.

Avec mon matériel de camping et mes sacoches de bikepacking, jai donc profité des campings et des villages incroyables des Alpes tels que Beaufort et Bourg-Saint-Maurice et fait des rencontres authentiques entre chaque montagne.

La Pierre Saint-Martin est l'une des stations de ski les plus proches du Pays Basque (2h30 environ). Une fois au sommet, il est très simple d'observer le Pic d'Anie : l'un des superbes sommets située à 2504 m d'altitude situé à quelques kilomètres de la station.

Situé sur la commune de Lées-Athas, c’est le plus haut sommet du cirque de Lescun en vallée d'Aspe. C'est ainsi qu'accompagné de deux amis, j'ai tenté et réussi cette incroyable ascension le 13 juillet 2024.

Cette journée fut intense car pour réussir à atteindre le sommet, la prudence fut de rigueur. La première partie de l'ascension était agréable et simple mais la seconde dans un ensemble complexe de pierres et de roches nécessitant de faire preuve de prudence et d'escalader certaines zones de manière sensible.

Mes cols cyclistes préférés au Pays Basque sont souvent Lizarrieta et le Jaizkibel. Ainsi, je me suis motivé à joindre les deux lors d’une même journée. Départ de Saint-Jean-de-Luz, j’ai pu réaliser une boucle incroyable pour la première fois. J’ai donc commencé par St Ignace puis Lizarrieta comme toujours. Ensuite, la descente m’a amené au village d’Etxalar et j’ai ainsi pu rejoindre Lesaka après quelques kilomètres. Ensuite, j’ai donc gravi Aritxulegi et profité du sommet avec la vue sur les Trois Couronnes, puis j’ai pu continuer mon trajet et remonter l’autre versant pour descendre à Oiartzun puis Pasaia où je me suis offert une belle pause.

Le village de Pasaia est l’un de mes favoris avec de superbes paysages à observer sur le bord de l’océan. J’ai cette fois tenté de remonter directement par un chemin de randonnée vers le Jaizkibel qui m’a permis de retirer 1/3 de l’ascension, que j’ai rapidement terminée pour profiter du magnifique sommet de ce dernier col de la journée. J’ai ensuite effectué mon retour vers Fontarrabie et pris le bâteau pour repartir à Hendaye et rentrer à Saint-Jean-de-Luz. Cette journée fut intense mais d’un plaisir incroyable.

Pour changer des randonnées habituelles en montagne, j'ai voulu tenter de rejoindre Saint-Jean-de-Luz depuis Biarritz en marchant uniquement sur la plage. Pour se faire, j’ai donc attendu qu’il reste 3h de marée descendante avec un coefficient important pour éviter tout risque avec l’océan et je suis parti de Biarritz avec un début sur la plage depuis la Côte des Basques.

Cette balade de 20 km m’a permis de découvrir l’ensemble des plages entre Biarritz et Saint-Jean-de-Luz en passant par Bidart puis Guéthary. Entre certaines plages, il est nécessaire de marcher dans les pierres et de parfois grimper un peu dans les rochers qui ne comportent aucun danger jusqu’à la plage de Lafitenia. Pour aller plus loin, la marée était trop montante malheureusement, donc j’ai dû remonter et terminer par les chemins un peu plus haut.

Sans nul doute ma plus belle découverte des Pyrénées : la vallée d'Ordesa. Le Parc National d'Ordesa et Mont Perdu se cache au cœur des Pyrénées espagnoles, à 3h30 de route de la côte basque. Il s'agit d'un canyon impressionnant qu'il est possible de parcourir en suivant de nombreux itinéraires qui m’ont permis de découvrir les vires (fajas), véritables sentiers à flanc de falaise creusés dans la roche offrant une vue sublime sur plusieurs kilomètres.

J’ai ainsi pu découvrir l’existence du refuge de Goriz, offrant le gîte et le couvert aux courageux qui tentent l'ascension du troisième plus haut sommet des Pyrénées : Le Mont Perdu, culminant à 3348 m. A en donner le vertige, la vallée d'Ordesa offre diversité, aventure, et challenges sportifs de taille sur nombre de parcours insolites. Camping, restaurants, navettes sont à disposition à la belle saison pour une expérience unique. Partons ensemble découvrir les clavijas, via ferrata revisitée et les cascades naturelles du Cirque de Soaso.

Gravir l’un des sommets de plus de 3000 m qui surplombent le Cirque de Gavarnie et la Vallée d’Ordesa, tel était mon objectif. Et me voici donc au sommet du Taillon, à 3144 m d’altitude, en solo, pour la première fois.

Dans un chaos de pierres et de neige, par-delà la Brèche de Roland, je vous propose de découvrir la haute montagne et ses paysages saisissants, le temps d'une randonnée hors du commun. Départ du col des Tentes à 6h30 pour rejoindre le refuge des Sarradets, puis la frontière espagnole en bravant la neige armé de crampons, pour affronter le plus accessible des sommets de 3000 m des Pyrénées.

La Rhune est le sommet emblématique du pays basque. Visible quasiment partout depuis la côte, c’est un peu la randonnée « incontournable ». Afin de la gravir, il est possible d’utiliser le petit train qui serpente jusqu’à son sommet au départ du col de Saint-Ignace. Il existe une multitude de tracés pour y parvenir en randonnée, dont le départ de la chapelle d’Olhette non loin d’Ascain.

La randonnée proposée ici est une boucle (assez rare quand il s’agit de la Rhune) au départ du village de Sare. L’aller rejoint la partie forestière classique afin d’atteindre le sommet par la voie la plus connue. C’est une fois au sommet que le tracé devient original. Nous allons redescendre par le versant opposé, « caché » depuis la côte basque. Avec un terrain totalement différent, nous allons découvrir le sommet Fageko Haria offrant un panorama atypique sur Sare et ses alentours.

Au cœur de la Provence, au départ des Baux-de-Provence et des Alpilles, nous partons pour 4 jours en voyage à vélo en couple, accompagnés de notre tente, en camping, où nous allons découvrir la Camargue à travers des chemins gravel sauvages et préservés au détour des Saintes-Maries-de-la-Mer.

Deux jours au plus près des marais salants, à Salin de Giraud, pour ensuite partir vers le Lubéron et le Colorado provençal, en traversant les villages typiques de cette superbe région.

Près de 350 km sous un soleil radieux, en côtoyant les campings les plus retranchés et les charmes de la Provence, à la conquête des hauteurs de la ville d'Apt, mais également de Saint-Rémy-de-Provence ou encore de l'Isle-sur-la-Sorgue.

Cet itinéraire est adapté aux personnes qui souhaitent découvrir le voyage à vélo, mais possédant tout de même une bonne condition physique. Nous avons roulé entre 80 et 100 km par jour, avec plusieurs cols de montagne culminant à 600 m.

Afin de parvenir à réaliser un bain quotidien toute l’année en maillot, j’ai vite appris quelles étaient les plus belles possibilités à Biarritz et surtout à Port-Vieux. J’ai ainsi pu découvrir le nom des rochers les plus connus et les plus appréciés des nageurs de la côte.

J’ai donc découvert très rapidement le Boucalot : le rocher le plus connu du coin situé un peu plus loin à gauche du célèbre Rocher de la Vierge. Ce dernier se situe à environ 350 m de nage de la plage de Port Vieux.

J’ai donc commencé à tenter de réaliser des aller-retours chaque jour sur plus de 700 m entre 15 et 20 mn dans une eau de plus en plus fraiche toujours en maillot de bain. Après environ 1 mois d’assiduité, les bains sont rapidement devenu beaucoup plus simples et m’ont vraiment appris un réel plaisir de jour en jour.

Le Mont Ventoux. Sa réputation n'est plus à faire. Après plusieurs années et quelques milliers de kilomètres à mon actif, j'ai décidé de tenter son ascension. Je me suis donc lancé dans la belle aventure depuis Biarritz, de rejoindre Carpentras, afin de débuter l'une des journées les plus mémorables de mon existence de cycliste amateur. Un départ par les Gorges de la Nesque offrant un paysage incroyable, un asphalte plus lisse qu'une autoroute et un axe fermé au voiture ce jour-là. Que demander de plus ? On attaque donc la longue et belle montée du Ventoux par le charmant village de Sault. Les kilomètres défilent, le faible pourcentage de pente laisse de quoi s'amuser sur sa monture, profiter du spectacle, et ne laisse jamais voir le sommet.

À 6km de l'arrivée, les choses sérieuses commencent, au Chalet Reynard. Pas le temps néanmoins de se restaurer, on ne pose pas le pied, et on gravit les derniers kilomètres, sur les traces des plus grands du Tour de France, avec une ambiance impressionnante d'encouragements, les vélos les plus chers du marché (on est là pour frimer, après tout) et un dernier virage qui annonce notre victoire. On prend le temps de la photo ! On va dès lors pouvoir savourer les 20km de descente qui nous attendent vers Malaucène, et tenter notre plus belle vitesse de pointe.

Je me rends souvent à Brest pour mon travail depuis pas mal d’années, ce qui m’a permis de découvrir cette ville et aussi la Bretagne sous de nouveaux jours. De la côte sauvage de Crozon, jusqu’à la côte de Granit Rose, le Finistère regorge de ressources naturelles toutes plus belles les unes que les autres, ainsi que de paysages magnifiques.

Biarritz, ma ville de cœur, là où je vis, où je passe mon temps à rêver lors de superbes randonnées en montagne et des heures méditatives face à l’océan. Quelle belle aventure donc de tenter de rallier deux villes qui me sont chères, le temps de mon second voyage à vélo de 8 jours, sur plus de 1000 km et le tout premier accompagné de celui qui allait devenir mon fidèle destrier : Mon Genesis Vagabond.

Partons à l’aventure sur l’intégralité de la Vélodyssée, en passant par le canal de Nantes à Brest, le BAC de Royan, pour terminer à Biarritz après avoir parcouru l’ensemble de la côte Atlantique française.

Le Mondarrain est la montagne voisine de l'Artzamendi, avec son sommet pierreux très caractéristique. Culminant à 740m d'altitude, son ascension assez raide offre une vue panoramique sur les sommets alentours ainsi que sur la côte basque.

Il s'agit d'une randonnée très fréquentée car son accès est relativement simple (7km en aller-retour), la durée d'ascension est assez courte sans grande difficulté, et le paysage au sommet est magnifique et singulier. Il es possible d'effectuer une boucle autour de ce dernier, permettant d'avoir une vue panoramique sur ses différents versants, offrant chacun une nouvelle expérience (c'est le tracé proposé ici).

Une randonnée bien connue au Pays Basque, sur les hauteurs de Bidarray, à environ 40 mn de la côte, se dressent les Crêtes d’Iparla, à quasiment 1100 m d’altitude. Ces formations rocheuses sont singulières car elles surplombent littéralement la vallée. Voisine d’Irubelakaskoa et du Mont Artzamendi, cette randonnée est un classique incontournable.

Partons donc à l’aventure pour une journée ensoleillée à la rencontre de ces falaises abruptes si caractéristiques, avec un beau challenge à relever. Une cheminée de pierres, un plateau offrant une vue panoramique, mais également des boucs des Pyrénées dans leur habitat naturel. De quoi ravir les randonneurs qui ne craignent pas d’affronter 800 à 1000 m de dénivelé positif et entre 11 et 18 km de marche dans la journée.

Les Trois Couronnes, appelées également Peñas de Aya, sont un véritable emblème du Pays Basque. On peut les apercevoir facilement depuis la côte, avec leur forme si singulière, ressemblant de loin à une couronne ornée de 3 pics surplombant la ville d'Irun, proche de la frontière espagnole. Culminant à plus de 800 m d'altitude, ce n'est pas par leur altitude qu'elles se démarquent, mais par le terrain technique et varié qu'il faudra affronter pour en réaliser l'ascension.

Partons donc à l'aventure afin de gravir chacun de ces trois sommets. Mais en réalité ils sont quatre : Erroilbide, Txurrumurru, Irumugarrieta et enfin Muganix; lors d'une randonnée surprenante au coeur d'une forêt de hêtres, mêlant passages techniques, paysages à couper le souffle et vues imprenables sur la côte basque, qui laissera d'impérissables souvenirs.

Les Pics d'Europe constituent un massif entre les provinces des Asturies et de la Cantabrie en Espagne, à une trentaine de kilomètres de la mer. Ils culminent au Torre de Cerredo,
à 2649 m. En ce mois d'avril ensoleillé, je profite donc d'un road trip à travers le Nord de l'Espagne pour découvrir les paysages à couper le souffle d'une partie de ce massif, le temps d'une randonnée.

N'ayant qu'une seule journée à consacrer à ce dernier, je décide de monter jusqu'au refuge d'Urriellu, qui porte le nom du pic au pied duquel il se trouve, à 2519 m d'altitude, avec une paroi verticale de 600 m, bien connue des grimpeurs espagnols.

C'est ainsi que je vous emmène à 2000 m avec un itinéraire à la journée composé de 12 km en aller-retour et de 900 m de D+, accessible à tous les niveaux avec une certaine expérience de la randonnée en montagne.

Le massif du Mont Artzamendi, à 30 km de la côte, m'a toujours fasciné par sa beauté, son mystère et la complexité de son ascension. C'est pour cela que j'ai entrepris une boucle complète autour de ce dernier, en passant par ses sommets les plus connus. Cette boucle nécessite une très bonne condition physique avec un dénivelé et une distance conséquents.

Partons donc pour 23 km et 1400 D+ à la rencontre du sommet de l'Artzamendi, du mont Eguzki, du Gorospil et du Mondarrain. Une vue à 360° avec une diversitéde terrains surprenante, des pentes raides, un déjeuner bien mérité à la Venta Burkaitz, des vautours nous ouvrant le chemin mais également des Pottoks, dans leur habitat naturel.

Le Jaizkibel est le sommet visible depuis toute la côte Basque, à la pointe de la frontière espagnole (le Cap Higier), à Fontarrabie. Il s'agit de la montagne la plus proche de l'océan Atlantique, qui culmine à 520 m d'altitude.

L'ascension à vélo ou en randonnée offre la visite de l'église de Notre-Dame de Guadalupe, sur la route de Saint-Jacques, pour redescendre jusqu'au village historique de Pasaia, que je vous conseille vivement de visiter au passage.

Après un bref passage dans le petit village d'Oiartzun, les Trois Couronnes, appelées également "Las Peñas de Aya", bien connues au Pays Basque, se découvrent progressivement. L'ascension de ces deux cols n'est pas à sous-estimer avec une pente entre 3% et 9% par endroit. Le point culminant se situe au départ de la randonnée permettant de gravir les Trois Couronnes. La descente offre un panorama sur "El castillo del Ingles", les ruines d'un ancien château sur une colline dégagée.

Irubelakaskoa est une randonnée dans les environs de Bidarray. Il s'agit de la montagne en forme de pyramide qui se situe entre l'Artzamendi et les crêtes d'Iparla, qui culmine à 985 m. Elle propose paysages variés (rochers, forêt, sentiers étroits, fougères, etc.), et offre un panorama dégagé à 360° sur les sommets voisins (Artzamendi, les crètes d'Iparla, le rocher au vautour, etc.).

Cette randonnée nécessite un très bon niveau. En effet, vous débutez l'ascension par 2 km verticaux. Au total, une pente raide pendant plus de 4 km vous attend pour parvenir au sommet. Un balisage inexistant, une végétation abondante et un sentier parfois hostile rendent ce tracé particulièrement sauvage et impressionnant. La redescente dans la forêt est totalement différente et diversifiée, avec une pente beaucoup plus douce.

Partons découvrir les méandres du Pays Basque espagnol, au détour d'Oñati, un village caché au pied des montagnes, à 1h30 de Biarritz. Une randonnée surprenante, au départ du Sanctuaire d'Arantzazu, à 750 m d'altitude.

Une randonnée en deux parties. Tout d'abord, notre mission sera de nous rendre à la venta située a un peu plus de 1000 m afin d'y partager un délicieux repas typiquement Basque, pour ensuite braver le sentier rocheux qui nous mènera au sommet de l'Aizkorri, à plus de 1500 m d'altitude avec un panorama impressionnant sur une plaine singulière.